CAC GEORGES BRASSENS. La preuve est faite : quand on veut noyer son chien, on dit qu’il a la rage !
En un mois, le maire a fait régler près de 9.000 euros de procédures judiciaires contre l’association qui gérait le CAC jusqu’à la fin de l’année dernière.
L’une d’entre elles pour justifier le licenciement économique d’une salariée du CAC.
MAIS, lors du Conseil du 2 juillet, et maintenant qu’il dispose d’une association « à sa main », il a fait voter des crédits pour la rénovation de l’espace Brassens vieillissant