Centre communal d'action sociale: quand les difficultés des familles font s'esclaffer les administrateurs !
Bizarrement, c'est une fonctionnaire municipale qui, après avoir prévenu le Vice-président (Monsieur Daff), s'est permise de lire la deuxième délibération avant de la mettre en débat (confusion pour le moins bizarre - et en en tout cas illégale entre une dirigeante de service municipal de fait et les élus).
Il s'agit pour l'association en question d'assurer le fonctionnement de l'accompagnement à la scolarité (Contrat CLAS) au Centre-Ville.
10 familles réparties dans 3 écoles élémentaires et 4 écoles maternelles devraient ainsi y être accompagnées.
Quelles sont ces écoles ? Ma question qui n'avait pourtant rien d'un piège a pourtant visiblement créée beaucoup de gène puisque même Madame Morillon (qui a pourtant été adjointe aux écoles pendant plusieurs années) confondait visiblement écoles d'autres quartiers avec celles du Centre-Ville.
Au final, j'ai donc cru comprendre que seraient concernées les écoles élémentaires Curie, Lumière et Bouchet ainsi que le écoles maternelles Myosotis, Mimosas et Capucines. A vérifier donc.
Pour ce qui concerne le budget municipal, il s'agissait tout simplement des éléments donnés lors du débat d'orientations budgétaires. Le Vice-président prenant la peine de rappeler aux administrateurs qu'ils étaient là pour approuver les choix municipaux. En gros: "circulez, y'a rien à voir !".
Cela n'a pas empêché le débat jusqu'à ce que ma proposition de chèques municipaux pour 500.000 euros fasse éclater de rire les administrateurs élus et présents (Monsieur Daff et Madame Morillon).
Un rire vite devenu grimace sous les masques quand je me suis fâché (cela ne m'arrive pas souvent mais cela m'arrive - surtout quand ces mêmes élus ont justifié récemment tous les irrégularités financières relevées par la Cour des comptes !).
Vous trouverez, ci-dessous, les deux délibérations dont il est question dans cet article.
Les deux points à l'ordre du jour du CCAS du 30 décembre dernier