CAC Georges Brassens « la droite m’a tuer »

J’ai dénoncé à nouveau la casse du CAC Georges Brassens ainsi que les pratiques inadmissibles de l’exécutif municipal : mensonges (un audit qui n’existe pas), insultes (salariés taxés d’incompétence, une grève assimilée à « une prise d’otages »), cynisme quand l’adjoint à la culture évoque ces salariés « qui ne seront pas les premiers à aller pointer à Pôle-Emploi ».
Cynisme encore quand trois jours avant le Conseil, la Ville fait paraître une offre d’emploi pour gérer la réservation des salles alors qu’elle vient de mettre 10 salariés sur le carreau.
Pour « faire bonne mesure », j’ai également condamné le choix fait par le maire de Magnanville et le Président des « 4 Z’arts » entre les valeurs qu’ils disaient défendre et une complicité sournoise avec ce qui s’est passé à Mantes-la-Jolie.