Kurdistan. Le vrai visage de la répression du gouvernement turc
Depuis le 2 décembre dernier, le district de Sur - qui abrite la ville antique de Diyarbakir - est sous "couvre-feu".
C'est au cours d'une suspension de 17 heures du couvre-feu, le 11 décembre 2015 que des observations de terrain ont pu être faites.
Un rapport vient d'être rendu public le 30 mars dernier.
Bizarrement nos médias "concurrents libres et non faussés" n'en ont pas parlé et l'Europe, la France observent un silence complice.
Faut-il gêner un pays qu'on paie pour qu'il reprenne tous les jours les migrants, victimes des guerres que nous avons provoquées?
Vous trouverez, après l'article et les photos, ce rapport à télécharger